Court avertissement sur les dangers réels de la planche
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- paquitomicorazon
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Court avertissement sur les dangers réels de la planche
Nicolas Leloup cet été, un passionné sur l'étang de Sanguinet il y a un mois, Dominique (Skal) cette semaine, les décès lié à des arrêts cardiaques/infarctus pendant ou après une session de planche s'enchaînent en ce moment comme une mauvaise série, les victimes sont, au moins pour deux d'entre elles, des sportifs accomplis, et pourtant, une simple session leur a été fatale.
Sans m'étendre sur mon cas, j'ai été victime d'un infarctus après une session il y a 7 ans, j'avais 29 ans, aucun antécédant, pas de cholestérol, non fumeur, etc, bref rien ne me prédisposant à un tel accident. Sans la présence de ma femme sur place qui a immédiatement appelé les secours, j'aurais eu le plaisir d'accueillir nos trois compagnons cités plus haut au paradis des windsurfers.
Bref, depuis, je suis bien sûr hyper surveillé, mais surtout, je navigue avec un cardiofréquencemètre, du même genre que celui utilisé par des milliers de sportifs pour le vélo ou la course à pied.
Et bien mes amis, vous n'avez pas idée de l'effort que subit le coeur pendant une session de planche.
C'est proprement hallucinant !
Pour parler clair, en mode navigation surtoilée, passage de barre, surf, saut pour ceux qui naviguent en vague, le coeur est quasiment au max de sa fréquence (plus de 170 bpm)
A titre perso, passer d'une 5 m à une 5.7 fait augmenter mes pulsations cardiaques de 15 bpm.
En nave normale, freeride, normalement toilé, je tourne entre 100 et 120 (avec à la base un coeur au repos plutôt lent < 40 bpm)
Tout ça pour vous dire que sur une session d'une journée, votre coeur encaisse l'équivalent de ce qu'endure un coureur de marathon !
Le souci, c'est qu'on ne s'en rend pas compte car d'une part, contrairement au vélo ou à la course à pied, notre effort est immédiatement récompensé par le plaisir de la glisse et d'autre part, l'environnement humide et relativement frais, nous prive des signaux d'alertes tels que la sudation par exemple.
Je ne suis pas cardiologue et encore moins médecin, j'imagine que certains fréquentent ce forum (je pense à Odile notamment), mais j'aimerais bien voir leur avis sur la question.
A titre perso, tout ce que je peux me permettre de conseiller, ce n'est ni plus ni moins que de faire ce qui se fait dans n 'importe quel sport d'endurance, c'est-à dire bien gérer son alimentation et son hydratation avant, pendant et après l'effort et surtout, porter un cardio pour se rendre compte en direct de l'effort qu'on fait subir à son coeur.
L'état de forme et de santé n'a rien à voir là dedans, l'infarctus guette tout autant les sportifs de haut niveau que les planchistes du dimanche, depuis mon infarct, on m'appelle régulièrement pour me demander des copies de mes comptes rendus opératoires, car tel surfer ou tel rugbyman vient de subir le même pépin, et chaque fois, il s'agit de personnes plutôt jeunes (- de trente ans) et sportifs de haut niveau.
Au risque d'être lourd, je vais copier coller ce post sur dans la plupart de forums car ce matin, comme beaucoup d'entre vous, j'ai vraiment les boules....
Sans m'étendre sur mon cas, j'ai été victime d'un infarctus après une session il y a 7 ans, j'avais 29 ans, aucun antécédant, pas de cholestérol, non fumeur, etc, bref rien ne me prédisposant à un tel accident. Sans la présence de ma femme sur place qui a immédiatement appelé les secours, j'aurais eu le plaisir d'accueillir nos trois compagnons cités plus haut au paradis des windsurfers.
Bref, depuis, je suis bien sûr hyper surveillé, mais surtout, je navigue avec un cardiofréquencemètre, du même genre que celui utilisé par des milliers de sportifs pour le vélo ou la course à pied.
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C'est proprement hallucinant !
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A titre perso, passer d'une 5 m à une 5.7 fait augmenter mes pulsations cardiaques de 15 bpm.
En nave normale, freeride, normalement toilé, je tourne entre 100 et 120 (avec à la base un coeur au repos plutôt lent < 40 bpm)
Tout ça pour vous dire que sur une session d'une journée, votre coeur encaisse l'équivalent de ce qu'endure un coureur de marathon !
Le souci, c'est qu'on ne s'en rend pas compte car d'une part, contrairement au vélo ou à la course à pied, notre effort est immédiatement récompensé par le plaisir de la glisse et d'autre part, l'environnement humide et relativement frais, nous prive des signaux d'alertes tels que la sudation par exemple.
Je ne suis pas cardiologue et encore moins médecin, j'imagine que certains fréquentent ce forum (je pense à Odile notamment), mais j'aimerais bien voir leur avis sur la question.
A titre perso, tout ce que je peux me permettre de conseiller, ce n'est ni plus ni moins que de faire ce qui se fait dans n 'importe quel sport d'endurance, c'est-à dire bien gérer son alimentation et son hydratation avant, pendant et après l'effort et surtout, porter un cardio pour se rendre compte en direct de l'effort qu'on fait subir à son coeur.
L'état de forme et de santé n'a rien à voir là dedans, l'infarctus guette tout autant les sportifs de haut niveau que les planchistes du dimanche, depuis mon infarct, on m'appelle régulièrement pour me demander des copies de mes comptes rendus opératoires, car tel surfer ou tel rugbyman vient de subir le même pépin, et chaque fois, il s'agit de personnes plutôt jeunes (- de trente ans) et sportifs de haut niveau.
Au risque d'être lourd, je vais copier coller ce post sur dans la plupart de forums car ce matin, comme beaucoup d'entre vous, j'ai vraiment les boules....
Dernière modification par paquitomicorazon le 03/12/2010 10:41, modifié 1 fois.
j'ai perdu il y a une dizaine d'année un ami qui est décédé apres une nav sur l'etang de poses en plein hiver, un peu dans des circonstances similaires à celle de Skal. Je crois qu'effectivement on ne se rend pas compte de l'effort produit pendant la nav et cela couplé à l'environnement difficile en hiver augmente probablement le risque.
Il me semble d'ailleurs qu'une étude à montrer que le pire moment d'une session en terme de rythme cardiaque etait la remonté au parking en portant le matos... comme quoi...
En tout cas une grosse pensée pour Skal, sa disparition m'a autant surpris qu'affecté..
Faites gaffe à vous! un petit checkup de temps en temps chez le medecin/medecin du sport n'est pas un luxe.
Il me semble d'ailleurs qu'une étude à montrer que le pire moment d'une session en terme de rythme cardiaque etait la remonté au parking en portant le matos... comme quoi...
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Re: Court avertissement sur les dangers réels de la planche
hé bé moi qui suis plus à 70 au repos, qu'est-ce que ça doit être dans l'effortpaquitomicorazon a écrit :en mode navigation surtoilée, passage de barre, surf, saut pour ceux qui naviguent en vague, le coeur est quasiment au max de sa fréquence (plus de 170 bpm)
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- christopheforest
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hallucinant!! j'en étais déjà assez persuadé ... l'autre jour je fasais ma première compétition de vagues (armor wave classic); les Heat étaient de 10 min, j'en sortais "mort de chez mort" (façon de parler), le coeur au taquet (stress, effort constant anaérobie ...). J'avais donc des crampes assez vite ...
Klass Voguet a fait une étude sur le sujet (parue dans wind) et cela prouve ce que tu dis: les mecs montaient à 190 puls/min en anaérobie totale lors des sauts et des surfs ...
ça fait réfléchir sur notre hygiène de vie qui devrait être à hauteur de ce que nous faisons subir à notre corps ... or nombre d'entre nous bossent toute la semaine, boivent de l'alcool, mangent gars, et vont le we au spot sans entrainement, sans échauffement et s'en foutent plein la tronche ...
à méditer.
a+
Klass Voguet a fait une étude sur le sujet (parue dans wind) et cela prouve ce que tu dis: les mecs montaient à 190 puls/min en anaérobie totale lors des sauts et des surfs ...
ça fait réfléchir sur notre hygiène de vie qui devrait être à hauteur de ce que nous faisons subir à notre corps ... or nombre d'entre nous bossent toute la semaine, boivent de l'alcool, mangent gars, et vont le we au spot sans entrainement, sans échauffement et s'en foutent plein la tronche ...
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le wind comme windsurf, le cams comme mode de vie pour faire le tour des spots!
- christopheforest
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bah oui le windsurf est un sport ...
... les windsurfeurs devraient p'tet se conduire comme des sportifs et soigner un minimum leur condition physique ... un p'tit jogging une fois par semaine n'a jamais fait de mal ... ou un tour de vélo pour faire du cardio ...
quand à l'alcool attention surtout en hiver ... risques de déshydratation ...
quand j'en vois certains, pas certain que le médecin les laisse faire un test d'effort jusqu'au bout ... le problème est la pratique hors clubs donc hors licence et si on suit sans contrôle médical obligatoire ...
... les windsurfeurs devraient p'tet se conduire comme des sportifs et soigner un minimum leur condition physique ... un p'tit jogging une fois par semaine n'a jamais fait de mal ... ou un tour de vélo pour faire du cardio ...
quand à l'alcool attention surtout en hiver ... risques de déshydratation ...
quand j'en vois certains, pas certain que le médecin les laisse faire un test d'effort jusqu'au bout ... le problème est la pratique hors clubs donc hors licence et si on suit sans contrôle médical obligatoire ...
- Pad
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Bonjour paquitomicorazon et les autres,
Je n'avais pas entendu parlé de ce décès, je ne connais pas ces personnes, mes condoléances à la famille. Je suis interne en médecine et les cas d'infarctus du myocarde chez des jeunes sans facteur de risque très sportif qui plus est m'étonnent beaucoup. Apparement, le tien était authentique paquitomicorazon puisque tu es guéri.
Pour les autres, s'agit-il de diagnostic de présomption post mortem sans autopsie ? Les victimes ont été sortis de l'eau vivantes ? Parce qu'il peut se passer beaucoup de chose avant :
- une personne sujette aux troubles du rythme/conduction peut en faire en mer (probabilité augmentée du fait que le corps est en état de stress par l'endurance + la déshydratation + hypoxie parfois quand on ramasse dans les vagues). Ce trouble entraînant un malaise/syncope et dans l'eau, rien ne pardonne => arret cardiaque, et à postériori, même en autoscopie, ça peut ressembler à un infarctus.
- une hypoglycémie entrainant les mêmes conséquences
(...)
La liste est longue et quand la personne décède en mer, difficile de faire la part des choses rétrospectivement. Après certains organismes sont plus sujets à des infarctus, et comme je disais plus haut, avec la deshydratation +/- hypoglycémie +/- l'hypoxie avec l'apparition d'une cétose au fur et à mesure de la longueur de la session. Ce sont des facteurs précipitants. Et comme tu le dis paquitomicorazon, dans l'eau, on ne sent pas la transpiration, la deshydration, et moins la douleur avec l'adrénaline.
Pour le cardio, je me demande ce qu'il t'apporte paquitomicorazon ? Il n'a qu'un intérêt informationnel pour voir quand l'organisme est à fond. Mais vas tu faire demi tour quand tu passes la barre et que tu tachycardes à 190 ?
Le mieux qu'on puisse donner à notre corps, c'est surtout une hydratation tout au long de la nav, de l'énergie avec de la bouffe et un entrainement au long cours +++ (hygiène de vie, pratique d'autres sports d'endurance). Les mauvaises et assez rares aventures arrivent dans tous les sports, en planche c'est souvent la cata comme ça se produit dans l'eau.
Peut être un sujet de thèse, mais on risque de me prendre pour un rigolo...
Je n'avais pas entendu parlé de ce décès, je ne connais pas ces personnes, mes condoléances à la famille. Je suis interne en médecine et les cas d'infarctus du myocarde chez des jeunes sans facteur de risque très sportif qui plus est m'étonnent beaucoup. Apparement, le tien était authentique paquitomicorazon puisque tu es guéri.
Pour les autres, s'agit-il de diagnostic de présomption post mortem sans autopsie ? Les victimes ont été sortis de l'eau vivantes ? Parce qu'il peut se passer beaucoup de chose avant :
- une personne sujette aux troubles du rythme/conduction peut en faire en mer (probabilité augmentée du fait que le corps est en état de stress par l'endurance + la déshydratation + hypoxie parfois quand on ramasse dans les vagues). Ce trouble entraînant un malaise/syncope et dans l'eau, rien ne pardonne => arret cardiaque, et à postériori, même en autoscopie, ça peut ressembler à un infarctus.
- une hypoglycémie entrainant les mêmes conséquences
(...)
La liste est longue et quand la personne décède en mer, difficile de faire la part des choses rétrospectivement. Après certains organismes sont plus sujets à des infarctus, et comme je disais plus haut, avec la deshydratation +/- hypoglycémie +/- l'hypoxie avec l'apparition d'une cétose au fur et à mesure de la longueur de la session. Ce sont des facteurs précipitants. Et comme tu le dis paquitomicorazon, dans l'eau, on ne sent pas la transpiration, la deshydration, et moins la douleur avec l'adrénaline.
Pour le cardio, je me demande ce qu'il t'apporte paquitomicorazon ? Il n'a qu'un intérêt informationnel pour voir quand l'organisme est à fond. Mais vas tu faire demi tour quand tu passes la barre et que tu tachycardes à 190 ?
Le mieux qu'on puisse donner à notre corps, c'est surtout une hydratation tout au long de la nav, de l'énergie avec de la bouffe et un entrainement au long cours +++ (hygiène de vie, pratique d'autres sports d'endurance). Les mauvaises et assez rares aventures arrivent dans tous les sports, en planche c'est souvent la cata comme ça se produit dans l'eau.
Peut être un sujet de thèse, mais on risque de me prendre pour un rigolo...
- christopheforest
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Pad pour ta thèse tu pourrais p'tet t'intéresser aux risques liés à la période de retour au calme après effort ...
le windsurf demande un gros effort quand on sort le matos de l'eau ...
s'ensuit une période de calme immédiate ... je pense que tu as une idée des suites possibles dans certains cas ...

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- paquitomicorazon
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Tu crois pas si bien dire, dès que je passe les 150, je reviens au bord et je laisse redescendre en dessous de 100 (je suis betabloqué donc 150 correspond déjà à un effort sérieux)Pad a écrit : Pour le cardio, je me demande ce qu'il t'apporte paquitomicorazon ? Il n'a qu'un intérêt informationnel pour voir quand l'organisme est à fond. Mais vas tu faire demi tour quand tu passes la barre et que tu tachycardes à 190 ?
Dac avec tes réserves sur les causes réelles des décès sus évoqués sinon, mais ce que je sais, c'est que les cardiologues qui me suivent (2 en fait) me font part de ce que ce genre d'accident est de plus en plus fréquent chez les jeunes sans avoir vraiment d'explication
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petit belome qd meme... je suis dans un club, j'ai une licence, et j'ai fait le SUPER test d'aptitude sportive, enfin vous savez la grosse blague de 10min chez le generaliste.christopheforest a écrit :quand j'en vois certains, pas certain que le médecin les laisse faire un test d'effort jusqu'au bout ... le problème est la pratique hors clubs donc hors licence et si on suit sans contrôle médical obligatoire ...
je n'y connais rien mais il parait qu'a part un vrai test sportif chez un cardio, on passe à coté de 90% de choses.
donc le suivi "de base" ne previendra rien du tout.
@paquitomicorazon: tu dis que ton coeur est "assez lent" à <40 bpm!!! c'est super lent je trouve!!
normalement on est plutot entre 60-70 au repos nan?!
Site kite: www.voyageskite.com
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http://www.msport.net/newSite/index.php ... rticle=950
oui tu as passé ce qu'on appelle le test de Ruffier surement,
enfin ça donne quand même une idée de la condition physique globale, ...
puis pour ceux qui pratiquent à haut niveau ;
oui tu as passé ce qu'on appelle le test de Ruffier surement,
enfin ça donne quand même une idée de la condition physique globale, ...
puis pour ceux qui pratiquent à haut niveau ;
Cependant, la Société Française de Cardiologie du Sport ayant émis l'avis du manque de sensibilité du test de Ruffier, et préconisant un step test de 6 minutes, nous avons définitivement abandonné le test de Ruffier à l'Insep.Mais n'oublions pas de préciser que le bilan des sportifs de haut niveau aujourd'hui (arrêté du 11 février 2004) impose, au minimum, un ECG de repos annuel, une épreuve d'effort cardiologique tous les quatre ans, couplée ou non à une épreuve d'effort énergétique,une échocardiographie avant et après 18 ans, et deux bilans cliniques annuels.
Débat trés intéressant !
Je suis educateur sportif profféssionnel dans la voile, j'envoie tout les jour du monde sur l'eau.J'avoue pourtant ne pas etre trés sensibilisé a ce genre de choses. Ce qui est sur c'est que trop de funboardeur et de voileux en général négligent les echauffements, la preparation avant l'effort et leurs hygiéne de vie tout simplement (meme les pros..).
Je vais essayer d'approdir le sujet..
Je suis educateur sportif profféssionnel dans la voile, j'envoie tout les jour du monde sur l'eau.J'avoue pourtant ne pas etre trés sensibilisé a ce genre de choses. Ce qui est sur c'est que trop de funboardeur et de voileux en général négligent les echauffements, la preparation avant l'effort et leurs hygiéne de vie tout simplement (meme les pros..).
Je vais essayer d'approdir le sujet..
D'autant plus que s'il n'y a pas de vent pendant un mois bcp ne font rien. Il faut faire gaffe les gars.
Moi je fait bcp de course à pied et salle de sport, j'espère que ça aide et ça ne m'empêche pas de me blesser !
Pour les courses à pied je dois faire un certificat médical mais c'est pipeau pareil, un coup de stetoscope, trois flexion, 22€ et c'est parti, tu peux fare jusqu'à un trail de 60km.
Espérant que ces drames dans notre sport s'arrêtent, mettre toujours une bonne combi, la cagoule (bcp de perditions par la tête), les chaussons même si un beau mois de février les conditions semblent être meilleures.
Moi je fait bcp de course à pied et salle de sport, j'espère que ça aide et ça ne m'empêche pas de me blesser !
Pour les courses à pied je dois faire un certificat médical mais c'est pipeau pareil, un coup de stetoscope, trois flexion, 22€ et c'est parti, tu peux fare jusqu'à un trail de 60km.
Espérant que ces drames dans notre sport s'arrêtent, mettre toujours une bonne combi, la cagoule (bcp de perditions par la tête), les chaussons même si un beau mois de février les conditions semblent être meilleures.