Publié : 19/02/2010 10:58
Manifestement oui dialogue de sourd
qui plus est, non seulement les méthodes de calcul de l'insee sont contestées pour leur formule, mais également pour le fait qu'elles prennent les revenus moyens de la population, or, si personne ne conteste que les grands patrons, cadres sup, traders, etc. ont vus leurs salaires grandement augmenter durement cette même période... voir de façon disproportionnées par rapport au bas revenus, ce qui fausse donc les résultats, c'est l'intégration de ceci sans pondération au moins... car dans les données insee, les bonus, gros salaires, parachutes etc, dont on parle tant, sont inclus... et ils peuvent représenter jusqu'à plusieurs vies de salaire pour certains... 

et j'en ai d'autres à ta dispoUne définition et des méthodes de calcul contestées
La définition retenue par l’INSEE pour le pouvoir d’achat et la méthode utilisée pour son calcul sont contestées. Les critiques portent simultanément sur les deux composantes du pouvoir d’achat : l’évolution du revenu des ménages et celle de l’inflation.
Selon le Conseil national de l’information statistique (CNIS, Chroniques, mars 2006), le ralentissement de la progression du pouvoir d’achat à partir de 2003 est dû au poids croissant des dépenses « contraintes » ou « à engagement contractuel » (logement, chauffage, téléphonie, assurances, soit plus du quart du RDB) et au rôle perturbateur du passage à l’euroEuroMonnaie unique de plusieurs Etats membres de l’Union européenne qui forment la zone euro. en 2002. Le CNIS souligne que l’évolution de l’IPC affecte d’avantage les plus modestes en raison de l’évolution des prix du tabac et du carburant. Il note que l’IPC, même renouvelé chaque année, ne mesurerait pas l’impact, sur les dépenses, de l’évolution des choix de comportements des ménages en faveur de produits et de services de meilleure qualité. Dans son rapport de décembre 2006 consacré aux niveaux de vie et aux inégalités sociales, le CNIS met l’accent sur les lacunes du dispositif de l’INSEE concernant notamment les revenus du patrimoine et de certaines catégories de populations (étudiants, sans domicile, travailleurs indépendants).sources: CNIS

